Je ne sais pas trop quoi dire sur La condition humaine d'André Malraux (et j'ai l'impression que je dis cela trop souvent quand je parle sur les bouquin français, peut être une expression de ma limitation d'expression dans cette langue qui m'énerve encore et toujours). Ce un livre très fort et ayant des difficultés d'y entrer au début, après un tiers j'avais du mal d'abandonner le bouquin, mais il n'y a pas d'espoir dans cet œuvre. Malraux ne raconte pas une histoire très cruelle parce que il discute en détail la violence, la mort, la torture, cela existe aussi mais pas beaucoup. Non, elle est cruelle parce que il n'y a aucune signe d'espoir. Tous les personnages sont perdus à la fin, morts ou vivants il n'y a plus rien pour eux. Malraux réussi à montrer ce désespoir dans mille variations (ok, je mens, mais six ou sept peut-être) et le destins de ses personnages sont si différents qu'un bouquin si déprimant que cela est si attirant au même temps. Hmmm, peut-être c'est moi aussi, j'aime très bien la culture déprimante en général à la fin (Townes, Hank, Faulkner...).
J'ai aussi trouvé super intéressant la période de laquelle Malraux parle ici, la Chine avant que les communistes aient gagné leur révolution est un sujet dont je sais rien. Tchang Kaï-chek je connaissais par nom mais dehors cela, rien. Alors, lis-le, mais ne plaignez-vous pas quand ce bouquin vous rendez tristes.
Japan Finally Got Inflation. Nobody Is Happy About It.
10 months ago
No comments:
Post a Comment