J'avais beaucoup aimé le livre de Romain Gary sur la ségrégation et les racismes aux Etats-Unis Chien blanc, je m'attendais à beaucoup de son bouquin Les Racines du ciel alors. Malheureusement ces espoirs ont été déçu. Gary ici décrit la lutte Kohlhaasien d'un écologiste prêt à tout pour préserver les éléphants que les Européens tuent en Afrique pour le plaisir. Il y mélange les expériences de ses protagonistes dans l'Europe de la deuxième guerre mondiale, des camps mais aussi des viols commis par des soldats soviétique à leur entrée en Berlin. un drôle de mélange qui ne convainc guère et qui en plus s’étend sur beaucoup trop de texte et surtout trop de répétition comme si l'auteur avait besoin de se rassurer soit-même sur les sentiments qu'il faisait avancé ses personnages.
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Sunday, December 29, 2013
Wednesday, August 29, 2012
Chien blanc
Un français qui voyage aux Etats-Unis et les expliquent à ses contemporains français voire européens. Quoi de neuf? Ce n'est ni Crèvecoeur, ni Tocqueville mais une version littéraire de la vie de Romain Gary et son épouse Jean Seberg entre LA et Paris en 1968. Le Chien blanc du titre fait référence à un chien dressé contre les noirs qui leur tombe dans les mains et qui l'auteur/le personnage principal veut faire guérir avec l'aide d'un dresseur d'animaux noir. Gary (l'auteur) démontre bien le racisme des blacks autant que des blancs dans son livre au même temps qu'il y voit la futilité d'une lutte où les blacks se sentent américains sans de le s'admettre tout à fait.
Un livre qui bouge (saute?) entre la vie familiale de Gary, le civil rights movement, la bataille de rue à Paris en 68, et plusieurs individus sur les différents côtés.Ce mélange est son forte mais aussi son faiblesse. Parfois le récit faisait l'impression de manquer de cohérence mais au même temps quelques descriptions font une forte impression sur le lecteur (voire moi) par exemple un leader militant des noirs Afro-Américain 'Red' dont un fils à déserté l'armée, l'autre y fait carrière ou la scène où Gary et un co-resistant dessinent des slogans de leur jeunesse (sur l'Espagne et des autres sujets) sur un mur dans le Paris révolté de 68.
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