André Malraux, figure mythique et fascinante du monde intellectuel et littéraire de la première moitie du 20ème siècle. J'avais beaucoup aimé ses deux œuvres L'espoir et La condition humaine, alors j'ai pris ses Antimémoires plus au moins par hasard dans une librairie en Bretagne. Ce livre est peu comparable à ces œuvres classiques et importantes. Malraux raconte sa vie ici, mais, même s'il le fait d'une façon littéraire, il n'arrive pas à le faire un grand œuvre littéraire.
Cela pas parce qu'il saute des évènements de son enfance, à travers la résistance aux voyages ministériels en Asie dans les années soixante. Il en échoue plutôt (ou peut-être l'essaie même pas?) parce qu'il mélange des parties racontée et interprétative ainsi que intéressante avec des extraits d'entretien de lui avec des célébrités (Mao, Nehru, de Gaulle...). Ces conversations ne sont d'abord pas toujours si intéressant qu'on aurait pu penser, en plus le lecteur (voire moi) n'arrive pas à perdre l'impression que Malraux veut se montrer comme personnage qui ait rencontrée tous ces gens. Ce qui est vrai évidemment, mais cela ne suffit pas comme soit d'en faire des histoires intéressantes. Autant plus parce que il semble de perdre ses capacités de clarté intellectuelle en analysant les grands hommes de l'histoire. Sa description de de Gaulle surtout est cella d'un croyant pas d'un esprit critique qu'il expose dans des autres parties ou dans les deux livres cités auparavant.
Je ne veux pas exagérer, j'ai trouvé le livre intéressant quand même et il y avait des parties fascinantes (surtout sur la résistance ou quelques des ses expériences en Asie et Arabie), c'est plutôt qu'il n'arrive pas à faire la compétition avec ses propre chef-d'œuvres que je considérais parmi les plus forts bouquin jamais écrit (restant dans mon Panthéon personnel avec Faulkner, Sartre et peu d'autres auteurs ou bouquins).
Cela pas parce qu'il saute des évènements de son enfance, à travers la résistance aux voyages ministériels en Asie dans les années soixante. Il en échoue plutôt (ou peut-être l'essaie même pas?) parce qu'il mélange des parties racontée et interprétative ainsi que intéressante avec des extraits d'entretien de lui avec des célébrités (Mao, Nehru, de Gaulle...). Ces conversations ne sont d'abord pas toujours si intéressant qu'on aurait pu penser, en plus le lecteur (voire moi) n'arrive pas à perdre l'impression que Malraux veut se montrer comme personnage qui ait rencontrée tous ces gens. Ce qui est vrai évidemment, mais cela ne suffit pas comme soit d'en faire des histoires intéressantes. Autant plus parce que il semble de perdre ses capacités de clarté intellectuelle en analysant les grands hommes de l'histoire. Sa description de de Gaulle surtout est cella d'un croyant pas d'un esprit critique qu'il expose dans des autres parties ou dans les deux livres cités auparavant.
Je ne veux pas exagérer, j'ai trouvé le livre intéressant quand même et il y avait des parties fascinantes (surtout sur la résistance ou quelques des ses expériences en Asie et Arabie), c'est plutôt qu'il n'arrive pas à faire la compétition avec ses propre chef-d'œuvres que je considérais parmi les plus forts bouquin jamais écrit (restant dans mon Panthéon personnel avec Faulkner, Sartre et peu d'autres auteurs ou bouquins).
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