J'ai voulu écrire une critique du livre Au bonheur des dames d'Émile Zola depuis longtemps. Maintenant, il fait un peu trop de temps que je l'ai lu, seulement quelques remarques courts alors.
Zola dans ce bouquin détaille l'émergence d'une grande magasin à Paris (comme le Bon Marché) et ses effets sur les petits vendeurs au quartier. Peu surprenant, sa description est loin d'être flatteuse. Il montre le patron du magasin, sa clientèle accro, et ses vendeurs traités uniquement comme des sources de revenues. D'une certaine façon le livre peut être lu comme une critique anti-moderne seulement, mais au même temps un caractère fort sympa qui ne réussit pas à s'adapter au magasin disparaît inglorieusement au contraste avec le patron qui trouve son bonheur (même si ce bonheur n'est plus basé sur les aspects financières). Je peux carrément recommandé le livre, je l'ai bien aimé, même si j'avais du mal à comprendre certains partis descriptives sur le tissus vendus par exemple. Les seuls choses critiquables de mon points de vue ont été les constants références aux caractéristiques 'juives' (l'avarice, la capacité de devenir riche), mais au même temps il semble impossible d'accuser Zola de l'antisemitisme. Deuxièmement, il serait très instructive de lire une critique féministe de cette œuvre - vu que l'idée structurelle est que les grands magasins réussirent parce que les femmes sont très faibles de résister les prix à bon marché.
Japan Finally Got Inflation. Nobody Is Happy About It.
10 months ago
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