Le dernier jour d'un condamné de Victor Hugo est un livre étrange. Cela est le cas parce qu'il est clairement une tentative de persuasion politique dans un format littéraire. Je réalise bien qu'il y a beaucoup, beaucoup des oeuvres littéraire qui sont politiques, mais j'ai l'impression que pour la plupart la politique reste quand même un aspect secondaire à la littérature. Le bouquin de Hugo est plutôt essayiste dans sa concentration sur un sujet, la peine de mort, et sa opposition contre cette peine.
Hugo raconte les derniers jours d'un condamné à la mort. Cette personnage n'a pas de traits très caractéristique, son portrait reste fluide, afin de rester plus représentatif et un symbole plus fort contre la peine de mort. On ne découvert même pas le crime qu'il a commis par exemple. Cette personnage traverse touts sentiments imaginables de quelqu'un condamné à la mort. Dès l'espoir de s'enfuir sur le courage en face de la fin jusqu'à la supplication pitoyable. Hugo a réussis à rendre les stages émotionnels clair au lecteur, à lui faire sentir ce que le condamné souffre. Mais quand même je n'ai pas été persuadé par le livre, pas politiquement, je suis contre la peine de mort, mais sur un niveau littéraire. Le constant monologue du condamné, censé à montrer les divers stades sentimentales et philosophiques qu'il traverse, a été trop prévisible et la politique trop éminent pour que j'aie pu vraiment prendre plaisir de le lire.
Japan Finally Got Inflation. Nobody Is Happy About It.
11 months ago