J'ai trouvé cette collection par hasard à la bibliothèque de l'Assemblée et je l'aurais jamais lu en français normalement vu que beaucoup des textes ont été traduits de l'allemand ou de l'anglais. Mais, même sous cette considération, l'œuvre, compilée par Oliver Lubrich, est recommandable. Effectivement et comme le titre implique Lubrich a amassé des textes des étrangers voyageant en Allemagne de 1933 à 1945, dont les auteurs connus (C. Isherwood, M. Frisch, V. Woolf, A. Camus) et moins connus (un étudiant chinois, la fille de l'ambassadeur américain, des journalistes).
Les textes soi-même varient beaucoup en longueur et style, ils sont tous plus ou moins littéraire mais certains sont beaucoup plus biographique que des autres. Et, comme toujours dans une collection, certains textes sont simplement meilleur que des autres. Mais en général je peux dire que ces écrivains offrent une perspective fascinante sur l'Allemagne et les allemands de l'époque. Certains entre eux se montre intrigué par le fascisme, mais même leurs descriptions (avec l'intention de flatter) réussissent à faire peur du climat à l'époque.
Depuis toujours, l'être allemand, tant l'individu que le peuple dans son entier, hésite entre la peur de l'infériorité et une confiance en soi exagérée. Je n'adhère pas aux préjugés trop simple comme celle je viens de citer, mais elle m'a fait rire quand même. Et finalement, si vous l'avez pas encore remarqué en lisant ce blog ou en me parlant:
D'habitude, le Berlinoi aime commenter.
Japan Finally Got Inflation. Nobody Is Happy About It.
11 months ago
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