Le Vicomte de Bragelonne III

Alors, j'ai fini Le Vicomte de Bragelonne de Alexandre Dumas. La troisième partie était facilement la meilleur, même si peut-être aussi parce que je n'étais pas encore habitué à la langage de Dumas dans le premier bouquin, en tout cas, j'aimais bien lire la troisième partie. Il y a plus d'aventure, et moins des intrigues d'amour. Mais, il faut dire que il y ait quelque partie de la trilogie, qui sont plutôt faible ou parfois ridicule d'une perspective moderne

Premièrement, le dévouement que les anciens servants montrent pour leurs maîtres est même pas ridicule, mais ridicule seulement. Le servant de Porthos par example meurt après entendre la nouvelle de la mort de son maître sur ses vêtements comme un 'chien' (citer de Dumas) par tritesse. Il n'y a pas d'émancipation d'eux, ils agissent comment ils l'ont fait dans Les Trois Mousquetuaire, plus de trente ans plus tôt.

Deuxièment, on n'est pas capable de prendre le suicide de Raoul serieux. Il le fait pour sa fiancée qui lui a déserté pour le roi. Désolé, mais je suis trop cynique pour que je croie que les gens sont aussi romantique pour se tuer un ans après qu'ils soient trompé.

Troisièment, Dumas a quelques contradictions dans ses déscriptions ou caractérisations. Monsieur Fouquet par exemple au début est montré comme un homme plein des intrigés contre le roi, cependant pendant le deuxième bouquin il change et devient une victime des circonstances. En général, il y a quelques instants où on a l'impréssion que Dumas ait perdue le vue d'ensemble un peu. Le fin du deuxième bouquin est dominé par une croissante amour entre Raoul et une anglaise par exemple, seulement pour faire Raoul rentrer en France et elle est jamais même évoquer plus. Mais peut-être les fautes loqique comme ca sont inévitable si on écrit un trilogie sur plus de 2400 mots.

En résumé, lisez ce bouquin! Si vous voulez apprendre francais, si vous avez aimez les trois mousquetaire pendant vos enfances, si vous aimez les libres ancien et historique, si vous aimez le livre en général, allez-y. C'est bien la peine.